Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le p'tit blog à JP

20 janvier 2009

Théorie.

En fait, pour être heureux ou au moins s'approcher d'un bonheur minimum il faut appliquer à sa vie le principe des vases communicants.

On peut séparer la vie en caissons plus ou moins étanches : vie affective, vie amoureuse, vie sexuelle, vie professionnelle, vie familiale, vie sociale, vie matérielle, vie intime, vie corporelle c'est-à-dire forme physique, mentale et santé.  Et je dois en oublier. 

Tout comme il est quasi impossible d'être totalement, entièrement, heureux, il est aussi quasi impossible d'être totalement malheureux.

Il y a forcément un de ces domaines et même plusieurs dans lesquels on se sent bien, épanoui ou en phase avec ses désirs et ses aspirations.

L'idée est donc, qu'au lieu de se lamenter sur le secteur qui ne fonctionne plus ou pas, de se concentrer sur ceux qui nous apportent joie et satisfaction.

Mes caissons amour ou pognon ne sont pas au beau fixe en ce moment, par exemple, alors je prends dans mon caisson famille ou santé ou amis qui débordent presque et je verse dans les caissons vides. Hum, c'est bon ! Evidemment ça diminue d'un côté mais ça augmente de l'autre pour s'équilibrer à un niveau satisfaisant.

Ah, ah, j'adore les théories.

Surtout quand c'est moi qui les invente.

Publicité
Publicité
19 janvier 2009

tout change

Les temps changent.

Tout évolue.

De nos jours j'ai remarqué …

Les pneus des bagnoles ne crèvent plus.

Y'a des tomates toute l'année qui ont la couleur de la tomate, la forme de la tomate, l'aspect de la tomate et un goût de flotte.

ET des fraises qu'on dirait en carton mâché.

Y'a des téléphones qui sonnent dans la rue, dans les restos, au milieu d'une réunion ou dans les trains.

Et un président qui dit cass'toi pov'con.

Et tout plein de chaînes de télé où on est sûr chaque jour de voir soit un ministre soit un ump ou les deux.

Y'a qu'un truc qui change pas, les Palestiniens et les Israéliens se mettent sur la tronche.

18 janvier 2009

Otis

J'ai un petit bouquin que je feuillette de temps en temps : Les Miscellanées de Mr Schott. C'est idéal pour mettre dans les WC. Sauf peut être pour un constipé.

On y trouve toutes sortes de choses inutiles mais intéressantes. Aussi bien les 12 travaux d'Hercule, que le calcul des tailles des bonnets de soutien gorge, les 10 plaies d'Egypte ou Je t'aime traduit en 43 langues. Ngiyakuthanda en Zoulou.

Et je suis tombé, mais en douceur, sur l'ultime phrase prononcée par Oscar Wilde : ou ce papier peint disparaît ou c'est moi.

Et ça me tue. Si j'ose dire. Car si on peut considérer que j'ai le sens de l'humour ou de la dérision ou de la moquerie ou un mélange des trois c'est ce que je perds en premier dès que je suis fatigué, malade ou de mauvaise humeur. Et je ne crois pas qu'à l'article de la mort j'aurais la force pour une dernière pirouette.

C'est en le feuilletant que j'ai appris qu'Otis Reding était mort à l'âge de 26 ans en 1967.  On m'aurait demandé, Otis Reding il est mort  quand à peu près à ton avis ? Ah bon il est mort j'aurais répondu, persuadé qu'il avait dans les 70 ans et qu'il chantait encore il y peu. Prouvant ainsi l'immensité de mon inculture.

16 janvier 2009

Renoncer.

Vivre c'est apprendre à renoncer. Cette pensée m'est venue. Je ne sais si elle est originale ou très banale. Ou fausse !

Enfant j'ai compris que je ne pouvais épouser ma mère. Pourtant tout petit je lui disais je t'aime et quand je serai grand je me marierai avec toi.

Puis j'ai renoncé à être Zorro, Robin des Bois ou Marco Polo. Et su que je ne serai jamais John Wayne dans Fort Alamo. Là c'est question de génération. Ensuite, j'ai vite compris que de toutes ces jolies filles croisées et souvent désirées je ne conserverais qu'une impression fugitive mais ne les serrerais pas dans mes bras. Même cette belle idée que j'avais d'être un artiste vivant de son art m'est finalement apparue incongrue.

15 janvier 2009

Lecture

En ce moment je lis le 2ème tome du fameux Millenium en 3 volumes. Il faut avouer que c'est assez plaisant et parfois prenant mais il y a quand même beaucoup de remplissage. C'est un des rares auteurs ou peut être le seul à oser énumérer des détails qui ont un intérêt très relatif voire aucun. Exemple, son héroïne reçoit un mail, il va nous expliquer en long et en large ce qu'il contient, le nombre de fichiers Word, les fichiers photos jpeg, le nombre de k-octets etc. Pas très passionnant. On imagine une scène d'amour décrite dans cet esprit. Il prit un préservatif de taille L, de la marque Baisez Sans Peine, qu'il ouvrit en déchirant l'emballage de couleur verte à rayures grises en le prenant entre son pouce et son index de la main droite, tenant l'autre bout avec ses dents, puis le saisissant entre les doigts de ses deux mains, il l'écarta, formant un cercle de rayon 1,5 cm, ce qui un faisait une circonférence de 2 X R X 3,14, pour y glisser voluptueusement son sexe dressé qui mesurait 14,5 cm car il était légèrement de taille inférieure à la moyenne nationale …  La jeune femme se serait endormie depuis un moment.

Publicité
Publicité
14 janvier 2009

Triste à pleurer.

Mourir gamin gazé à Gaza. Est-ce que Gaza serait un camp d'extermination des Palestiniens ? Une sorte d'immense wagon plombé en route vers nulle part sinon vers la mort et le désespoir. Est-ce que des roquettes valent tous ces charniers ?  Quand on n'est ni pro ni anti on compte les morts. On voudrait comprendre. Le Hamas ramasse. Tant mieux. Mais les mômes ?

13 janvier 2009

Voilà, voilà.

Je crois que je vais bloguer pour juste donner mon avis sur le Grand Bordel qu'est le monde. Avis modeste, partiel et partial mais c'est le mien et j'y tiens. N'étant pas de nature bavarde cela me permettra de faire le point sur ce que je pense ou ressens sans être interrompu par les grands et grandes bavardes qui m'entourent. Pas réellement un journal intime. Plutôt un ensemble de réflexions totalement profondes et irrésistibles. Car je suis profond et irrésistible mais tout le monde l'ignore.

12 janvier 2009

Ouverture.

On est le 12 janvier 2009, il est 12h54 et j'ouvre mon blog à moi. Zut déjà 12h55. C'est fou ce que le temps passe vite. Hélas non, comme disait Lamartine, c'est nous qui passons. Et pas la Martine qui ne dit pas grand chose. Déjà 12h56. Allez hop j'envoie ce chef d'oeuvre d'ouverture. 12h57.

Publicité
Publicité
Le p'tit blog à JP
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Publicité